Nouvelle réglementation sur le don d’organe en France

L’action consistant à transplanter un ou des organes d’une autre personne, donc un donneur, sur le malade n’a été expérimentée qu’à partir du 20ème siècle. Mais de nombreuses années auparavant, les scientifiques ont déjà effectué des tests sur des animaux, et actuellement le don d’organes n’a jamais été aussi répandu dans le monde et a permis de sauver des milliers de vies, ou tout au moins de les prolonger.

Donc, de nos jours, de nombreuses personnes ont recours au don d’organes, suite à une maladie ou à un accident.Malheureusement à cause du manque d’organe disponible, beaucoup d’entre elles perdent la vie.

Avant la nouvelle réglementation sur le don d’organe

Le don d’organe est un acte volontaire, exclu de toute rémunération. Les demandes sont de plus en plus fortes et malheureusement, le nombre de donneurs ne suffisent pas pour couvrir tous les besoins d’organes en France.

Il est à constater que s’il y avait pénuries de tant d’organes, c’est que par le passé chaque personne qui souhaitait faire un don d’organes devait avoir sur lui une attestation permettant le prélèvement en cas de décès, autrement dit si la personne n’ait pas en sa possession cette attestation, aucun prélèvement ne être effectué sur elle.Il fallait qu’elles aient informé leurs proches et qu’elles se soient inscrites sur le registre national comme étant des donneurs volontaires.  Malheureusement très peu de personnesse donnaient la peine d’effectuer cette démarche d’où le nombre limité des donneurs.

La nouvelle réglementation parut depuis janvier 2017

Pour optimiser le nombre de donneur, une nouvelle disposition a été prise par le gouvernement Français. Le don d’organe reste toujours gratuit, cependant il faudrait désormais que toutes les personnes ne souhaitant pas être prélevées fassent l’attestation au registre national des refus. Dès à présent, toutes personnes n’ayant pas fait cette attestation sont donc considérées comme consentante au don d’organes.